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LE PRIX DE PAIX
Le Prix de la paix de Pax Christi International
Pax Christi honore les femmes et les hommes qui oeuvrent pour la paix, la justice et la non-violence dans différentes parties du monde.
Dans leurs publications et leurs brochures, les organisations-membres du mouvement tracent souvent le portrait de certaines figures qui ont marqué l’histoire telles que le Mahatma Gandhi, Martin Luther King, Dorothy Day et les martyrs du Salvador.
Mais nous n’oublions pas pour autant de souligner les hauts faits des héros de notre temps. Pax Christi décerne annuellement un prix à des personnalités contemporaines qui luttent contre la violence et l’injustice, le plus souvent sur les lieux de l’action.
Voici les lauréats du Prix de la paix pour la période de 1988 à 2012 :
2012
Mgr. Dr. John Onaiyekan, Archevêque d’ Abuja, Nigéria, pour son effort en promouvant la compréhension mutuelle par le dialogue entre personnes de différentes religions en Afrique, en particulier dans son pays natal, le Nigéria.
2011
PONTANIMA, Chorale interreligieuse de Sarajevo, Bosnie-Herzégovine, parce qu’elle nous montre les possibilités positives des religions pour la paix, dont la musique guérit les souffrances humaines, montrant un avenir et par là l'authenticité de la foi.
2010
Mgr Louis Sako, archevêque Chaldéen de Kirkuk, Irak, comme défendeur prominent des minorités menacées et avocat ardent du procès difficile de démocrisation et réconciliation en Irak.
2009
Mad. Justine Masika Bihamba, de Goma, Kivu-Nord (RD du Congo), pour son engagement en faveur de la vie de femmes rurales, en défendant les droits humains et en assistant les victimes de guerre, spécialement les femmes victimes d'agression sexuelle.
2008
Le franciscain, Dom Luiz Flávio Cappio, évêque de Barra dans l'Etat de Bahia, Brésil, pour son action non-violente en faveur des pêcheurs en danger par le projet de transposition de la rivière Sao Francisco. Et en même temps la communauté locale elle-même tellement active dans le mouvement contre ce projet de transposition de la rivière.
2007
Le Women’s Active Museum on War and Peace, à Tokyo, au Japon: pour son engagement à soutenir des femmes victimes de la violence de la guerre à l’aide de méthodes thérapeutiques accessibles.
2006
Mme Ogarit Younan, membre fondatrice de l’Association libanaise pour les droits civils et du Réseau arabe pour la non-violence : pour sa ferveur à promouvoir la non-violence et la démocratie par des initiatives dans les domaines de l’hébergement et de la publication.
Rami Khoury, originaire de la Palestine et de la Jordanie, il a été longtemps éditeur, éditorialiste et reporter; il est actuellement rédacteur général pour le journal libano-anglais, The Daily Star : pour son travail en tant que membre du Brookings Institution Task Force on US Relations with the Islamic World, qui traite des relations entre les États-Unis et le monde islamique; pour ses commentaires sur les problèmes du Moyen Orient dans la presse internationale et les conférences qu’il donne dans le monde entier.
2005
Jacques Delors (France), homme d’État français et ancien président de la Commission européenne : en reconnaissance de sa vision et de sa contribution dans le domaine de la paix et de la sécurité sur le continent ainsi que pour ses efforts destinés à renforcer le rôle de l’Europe dans la construction de la paix à travers le monde.
2004
Sergio Vieira de Mello (Brésil), haut-commissaire aux droits de l’Homme à l’ONU et représentant spécial de l’ONU en Irak : pour avoir défendu la paix et la dignité de l’Homme dans le monde entier et donné sa vie à son travail.
2003
Franjo Starcevic (Croatie) : pour avoir fondé l’École de la paix de Mrkopalj.
2002
Frère Roberto Lawson (Philippines) : pour avoir instauré une culture de paix entre les chrétiens, les musulmans et les populations autochtones dans des régions où sévissent des conflits armés.
2001
Eddie Kneebone (Australie) : pour avoir encouragé la réconciliation entre jeunes australiens.
Mme Teesta Setavald, journaliste Indienne, dialogue inter religieuse en Asie.
2000
Ann Pettifor (Royaume-Uni) et Laura Vargas (Pérou) : pour leur contribution à la campagne du Jubilé 2000 en faveur de l’annulation de la dette des pays en voie de développement.
1999
La Clonard Fitzroy Fellowship (Irlande du Nord) : pour son initiative catholique et presbytérienne en vue de réconcilier les membres de ces deux communautés déchirées.
1998
Laurien Ntezimana et le Frère Modeste Mungwarareba (Rwanda) : pour avoir formé des jeunes animateurs à être agents de réconciliation auprès de groupes ethniques opposés.
1997
Le Frère Domingos Soares et Maria de Lourdes Martins Cruz (Timor Oriental) : pour leur action en éducation et dans le développement et le respect de la dignité des populations déshéritées du Timor Oriental.
1996
Mgr Franjo Komarica, évêque de Banja Luka, le mufti de Banja Luka Hadzi Halilovic, (Bosnie Herzégovine), Jelena Santic (Servie) et Gordana Stojanovic (Croatie): pour avoir favorisé la réconciliation pendant les hostilités.
1995
Janina Ochojska (Pologne), fondatrice de l’Action humanitaire polonaise : pour avoir organisé des convois humanitaires de matériel vers la Tchétchénie et les Balkans.
1994
Le Frère José Mpundu E’Booto (Zaïre), co-fondateur du groupe Amos : pour avoir combattu la corruption et lutté en faveur de la justice, de la paix et de la démocratie.
1993
Ray Williams et Dorraine Booth-Williams (États-Unis), membres de la nation amérindienne Swinomish : pour avoir défendu les cultures et les traditions des populations autochtones d’Amérique Centrale, de l’Amérique du Nord et du Sud.
1992
Joaquim Pinto de Andrade (Angola), membre fondateur du Mouvement populaire pour la libération de l’Angola : pour avoir fait campagne en faveur de la liberté et du respect des droits civils, et pour avoir contribué à la reconstruction d’après-guerre de son pays.
1991
Le Centre de recherches Osservatorio Meridionale (Italie) : pour avoir défié le pouvoir de la Mafia, et pour avoir contribué au développement de régions déshéritées de l’Italie du Sud.
1990
Dana Nemcova (Tchécoslovaquie) : pour avoir défendu les droits humains et les valeurs démocratiques au prix de périodes d’emprisonnement et de séparation d’avec sa famille.
1989
Le Frère Luis Pérez Aguirre (Uruguay) : pour avoir été emprisonné et torturé à de nombreuses reprises par les membres de la dictature militaire à cause de ses activités non-violentes défendant la justice et les droits humains.
1988
Margarida Maria Alves (Brésil), présidente du Syndicat des travailleurs agricoles: pour avoir donné sa vie en défendant les droits des travailleurs agricoles démunis. Elle a été assassinée en 1983.
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